Le maillon jaune

Dans mes souvenirs d’enfance, le mois de mai était un mois fleuri, de retrouvailles en famille ; un mois de gaieté, un mois senteur muguet. Ce n’étaient pas tant les bouquets que nous nous échangions pour fêter l’entrée dans ce mois finalement comme les autres, mais surtout les repas entre cousin.es, la cohésion familiale que créait ce jour sans travail. Le soleil était le seul jaune que je percevais alors, bien loin de l’équipement qui servirait à des travaux ingrats, ou bien du merveilleux bout de tissu qui allait glorifier les luttes à venir et que je porterai avec fierté.

















La « nature en ville » est le thème des municipales naissantes. Depuis que les associations P.A.R.C et A.S.P.I.
Comme tout.e bon.ne petit.e journaliste, nous avons des références certaines. Le célèbre dessinateur belge Hergé, en bon petit soldat du monde libre (à peine colonialiste), décrivait déjà en 1930, dans Tintin au pays des Soviets, des scènes de violences policières et de l’arrogance militante ainsi que les mensonges d’État.

